Assurance salaire : êtes-vous prêt à combler l’écart ?
Personne n’aime imaginer être incapable de travailler à cause d’un accident ou d’une maladie. Pourtant, c’est une réalité qui peut arriver à n’importe qui, à n’importe quel moment. Dans une telle situation, l’assurance salaire devient un véritable filet de sécurité financière.
Mais attention : dans bien des cas, les gens découvrent seulement au moment d’en avoir besoin que leur assurance ne couvre pas 100 % de leurs revenus. Ce décalage peut créer un stress financier important, au moment même où l’on devrait se concentrer sur sa santé et sa récupération.

Comment fonctionne l’assurance salaire ?
En règle générale, une assurance salaire (collective ou individuelle) couvre un pourcentage du revenu de base. On parle souvent de 60 % à 85 % du salaire brut. Cela peut sembler suffisant, mais il y a un détail important :
Les revenus variables (primes, bonis, commissions, heures supplémentaires, dividendes d’entreprise, etc.) ne sont souvent pas pris en compte dans le calcul.
Les revenus maximum, certaines compagnies d’assurance mettent un revenu maximum à l’assurance salaire.
Ainsi, un employé ou un entrepreneur qui a une rémunération mixte pourrait se retrouver avec une prestation beaucoup plus basse que prévu.
Exemple concret
Imaginons quelqu’un qui gagne 80 000 $ par année en salaire de base, plus 20 000 $ en commissions.
- Son salaire total réel : 100 000 $/année.
- Son assurance couvre 70 % du salaire de base uniquement.
- En cas d’invalidité, il toucherait 56 000 $ net / année.
Résultat : une perte de 14 000 $, soit 70% des commissions de 20 000 $, puisqu’elles ne sont pas considérées. L’impact se calculerait de la même façon si le revenu maximum couvert était de 80 000$, par exemple.

Que pouvez-vous faire pour combler cet écart ?
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe plusieurs solutions :
1. Revoir vos protections collectives
Vérifiez si votre régime d’assurance collective inclut les primes et commissions ou un revenu maximum. Si ce n’est pas le cas, informez-vous auprès de votre employeur des options disponibles.
2. Souscrire une assurance complémentaire individuelle
Une assurance invalidité personnelle peut être ajoutée pour couvrir vos revenus variables ou pour augmenter le pourcentage de remplacement.
3. Adapter la couverture à votre réalité
Un conseiller peut analyser votre situation globale (salaire fixe, commissions, revenus d’entreprise) afin de proposer une protection qui correspond vraiment à vos besoins.

Pourquoi c’est important d’agir maintenant ?
Un arrêt de travail peut arriver sans prévenir. Attendre au moment où la santé flanche, c’est trop tard pour corriger une couverture insuffisante. Une bonne assurance salaire, bien ajustée, c’est la tranquillité d’esprit de savoir que vos obligations financières seront respectées et que votre famille sera protégée.
En résumé : Votre assurance salaire ne couvre pas tout. Prenez le temps de vérifier, et si nécessaire, ajustez vos protections.
Vous aimeriez savoir si votre couverture actuelle est suffisante ? Contactez notre équipe, nous serons heureux d’analyser votre situation et de vous proposer des solutions adaptées.
Assurance salaire : êtes-vous prêt à combler l’écart ?
Personne n’aime imaginer être incapable de travailler à cause d’un accident ou d’une maladie. Pourtant, c’est une réalité qui peut arriver à n’importe qui, à n’importe quel moment. Dans une telle situation, l’assurance salaire devient un véritable filet de sécurité financière.
Mais attention : dans bien des cas, les gens découvrent seulement au moment d’en avoir besoin que leur assurance ne couvre pas 100 % de leurs revenus. Ce décalage peut créer un stress financier important, au moment même où l’on devrait se concentrer sur sa santé et sa récupération.

Comment fonctionne l’assurance salaire ?
En règle générale, une assurance salaire (collective ou individuelle) couvre un pourcentage du revenu de base. On parle souvent de 60 % à 85 % du salaire brut. Cela peut sembler suffisant, mais il y a un détail important :
Les revenus variables (primes, bonis, commissions, heures supplémentaires, dividendes d’entreprise, etc.) ne sont souvent pas pris en compte dans le calcul.
Les revenus maximum, certaines compagnies d’assurance mettent un revenu maximum à l’assurance salaire.
Ainsi, un employé ou un entrepreneur qui a une rémunération mixte pourrait se retrouver avec une prestation beaucoup plus basse que prévu.
Exemple concret
Imaginons quelqu’un qui gagne 80 000 $ par année en salaire de base, plus 20 000 $ en commissions.
- Son salaire total réel : 100 000 $/année.
- Son assurance couvre 70 % du salaire de base uniquement.
- En cas d’invalidité, il toucherait 56 000 $ net / année.
Résultat : une perte de 14 000 $, soit 70% des commissions de 20 000 $, puisqu’elles ne sont pas considérées. L’impact se calculerait de la même façon si le revenu maximum couvert était de 80 000$, par exemple.

Que pouvez-vous faire pour combler cet écart ?
La bonne nouvelle, c’est qu’il existe plusieurs solutions :
1. Revoir vos protections collectives
Vérifiez si votre régime d’assurance collective inclut les primes et commissions ou un revenu maximum. Si ce n’est pas le cas, informez-vous auprès de votre employeur des options disponibles.
2. Souscrire une assurance complémentaire individuelle
Une assurance invalidité personnelle peut être ajoutée pour couvrir vos revenus variables ou pour augmenter le pourcentage de remplacement.
3. Adapter la couverture à votre réalité
Un conseiller peut analyser votre situation globale (salaire fixe, commissions, revenus d’entreprise) afin de proposer une protection qui correspond vraiment à vos besoins.

Pourquoi c’est important d’agir maintenant ?
Un arrêt de travail peut arriver sans prévenir. Attendre au moment où la santé flanche, c’est trop tard pour corriger une couverture insuffisante. Une bonne assurance salaire, bien ajustée, c’est la tranquillité d’esprit de savoir que vos obligations financières seront respectées et que votre famille sera protégée.
En résumé : Votre assurance salaire ne couvre pas tout. Prenez le temps de vérifier, et si nécessaire, ajustez vos protections.
Vous aimeriez savoir si votre couverture actuelle est suffisante ? Contactez notre équipe, nous serons heureux d’analyser votre situation et de vous proposer des solutions adaptées.